Savoir que cette phrase a été partagée 2347 fois…
Merci du fond du cœur à Douceur de vivre!
Je me souviens du jour où je l’ai écrite. C’est la dernière de mon roman La flamme et le papillon…
Il fallait qu’elle marque, il fallait qu’elle soit juste. J’aime être précise. Alors je suis allée au parc à côté de chez moi, et j’ai fait de la balançoire, comme ça, toute seule. Pour vérifier quand il fallait tendre les jambes exactement… J’ai tout de suite beaucoup aimé cette phrase. La voir ici avec une illustration bien douce me touche profondément.